Subsides: un mal français

De nombreux secteurs parviennent à se faire à ce jour décerner des subventions de la part du régime. En tant que telles, ces indemnités publiques ne sont pas délétères, tant qu’ elles favorisent l’instruction, l’apprentissage, ou la recherche et le développement. Ce devrait demeurer la mission de la prestation des soutiens. Ces subventions sont Mais souvent adjugées à des secteurs dépassées qui ont évité d’changer avec leur époque. On peut citer les chantiers navals ou les chantiers navals. Les subsides sont en plus . fréquemment pourvues aux projets personnels de députés qui croient que leurs opinions comptent davantage que celles du marché. Songeons parmi d’autres aux panneaux solaires ou à la culture. Ces subsides sont trop régulièrement dispensées à des secteurs ayant la bénédiction d’un député, qui honnissent le libre marché et ont ainsi besoin d’être secourus de leurs ennemis. Personne n’a décerné des subventions à la Pomme pour qu’il montre sur le marché un produit inventif comme son fameux téléphone, causant presque la dégringolade d’une société telle que Nokia. Qui a doté des subventions à un constructeur de voitures comme BMW pour qu’il rehausse de manière étonnante sa part de marché en inventant des modèles plus séduisants nantis de moteurs plus économiques. Les subventions tentent de discipliner, et même de circonscrire le choix des personnes. Le cas des subventions agricoles européennes en est la meilleure preuve. La conjonction d’indemnisations agricoles pour les agriculteurs nationauxet de charges à l’importation pour les compétiteurs autres étouffe le choix des clients d’Europe et les force à verser le prix fort que si le marché était libre. Le libre marché est la meilleure manière d’inciter les sociétés à inventer. Celui qui n’y parvient pas est voué à disparaître. A contrario, celui qui peut plaire aux les clients en se basant sur du prix, de la qualité et du service est récompensé à sa juste valeur. La meilleure manière de ruiner ce processus de écrémage est donc de distribuer des subventions qui encouragent la paresse des sociétés, alors que le challenge aiguise leur puissance.